Intervention de Docteur Hassan JOUNI

 

The following article was published in the April 2022 special issue of the International Review of Contemporary Law, the journal of the IADL.

Bonsoir à tout le monde

Voilà, je n’ai rien à ajouter. Après Marie et Soha je n’ai rien à ajouter et après Walid bien sûre.

Seulement pour dire comment j’ai rencontré Roland. Ça a été tout d’abord à travers un livre dans la bibliothèque de mon camarade Nakhlé qui a connu Roland au Maroc lors de la lutte pour les syndicats des travailleurs dont Ils étaient leurs avocats ensemble.

J’ai vu le livre et ça m’a attiré : « Une robe pour un combat »

C’est comme ça que ça a commencé.

Puis après bien sûre j’étais étudiant, je suis allé Rue du temple. J’ai vu Monique et Roland pour ma thèse donc j’étais impressionné par cette famille.

Bien sûre la lutte pour une cause juste : la Palestine et la résistance libanaise comme a dit Marie tout à l’heure et je n’ai rien à ajouter concernant la résistance libanaise ajouter à Soha notre idole…… je ne sais pas comment le dire donc Soha et Marie ont tout dit sur la résistance.

Je n’ai rien à ajouter là-dessus. Seulement pour dire que la rencontre avec Roland était quelque chose. Il a marqué notre vie à tous je pense. Non seulement du point de vue du droit, non seulement pour la lutte mais aussi au niveau personnel.

Il nous a touché dans sa vie, nous a touché avec ses blagues comme le disait un camarade, par l’humour lorsqu’il parlait.

On a fait beaucoup de voyages ensemble bien sûrs. Il m’a demandé dans les années 90-93 de traduire en arabe la déclaration des juristes démocrates. Et c’est comme ça que je l’ai connu.

Ça fait combien 30 ans ?

Voilà je n’ai rien à dire concernant la lutte des peuples concernant la lutte pour une cause justes dans ce monde, la Palestine, le Sahara, l’Amérique du sud sans doute et aussi la question du Vietnam. Beaucoup de causes, donc e n’ai rien à ajouter parce que tout le monde en a parlé depuis cet après-midi.

Donc seulement pour dire que c’est comme ça que je l’ai connu à Beyrouth avec Marie avec tout le monde.

D’abord moi j’étais très touché au niveau personnel, j’étais très touché.et puis après bien sûre on a perdu un grand homme il était pour les grandes causes de ce monde.

Je passe le bonjour à sa famille.

Avant que je termine je me rappelle que je lui ai envoyé les photos de Monique au Vietnam.

Il m’a dit Hassan c’était quelque chose tu m’as, tu m’as …c’était des belles photos, photos que j’ai envoyé après la mort de Monique.

Voilà qu’est ce que vous voulez que j’ajoute sauf une chose que voilà, là où il est on l’aime avec Monique.

Il m’a dit toujours, il y a un livre encore à écrire avec Monique après le départ de Monique, il m’a dit il y a un livre à écrire encore Il était pressé d’aller la voir.

Voilà ce que j’ai à dire.

Bonjour à tout le monde à tous les camarades.

Après ce qu’a dit Soha, pour nous Soha c’est quelque chose, après ce qu’ont dit Marie et Walid je n’ai rien à ajouter je pense à ce qu’a dit Anwar aussi.

Je termine. Vous avez le grand bonjour d’Albert. J’ai parlé avec lui et sa femme hier. Il était prévu qu’ils soient avec nous aujourd’hui mais pour un problème technique ils n’ont pas pu entrer par Zoom.

Je vous embrasse tous et Merci.

All articles published in the International Review of Contemporary Law reflect only the position of their author and not the position of the journal, nor of the International Association of Democratic Lawyers.

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